Antoine Duléry s'en prend à un animateur "pas agréable" : "Ça l'avait un peu gonflé..."

Si Antoine Duléry est de son propre aveu "un bon client" pour les médias, tous les animateurs ne gardent pas forcément un bon souvenir de lui. Le comédien a ainsi dévoilé le nom de celui avec lequel le feeling n'est pas très bien passé.

Antoine Duléry s'en prend à un animateur "pas agréable" : "Ça l'avait un peu gonflé..."
© Castel Franck/ABACA

Antoine Duléry n'est pas connu pour avoir sa langue dans sa poche. Et il l'a une nouvelle prouvé sur les ondes de RTL dans l'émission On refait la télé. Invité par Éric Dussart et Jade a retracer le fil de sa carrière, la star de la saga Camping a réouvert le livre avec bonheur. Et il a même accepté de revenir sur ses petits défauts, et sur certaines rencontres peu agréables… 

"Je l'avais trouvé pas du tout agréable" 

Antoine Duléry a ainsi très vite évoqué un animateur de télévision avait qui le feeling n'était pas vraiment bien passé. "Je crois qu'ils (les animateurs, ndlr) sont plutôt contents que je sois un bon client. Et j'ai de temps en temps fait des émissions avec des types moins sympathiques que d'autres...", a-t-il commencé. Avant de poursuivre : "Il y en a un, paix à son âme (…) Jean-Luc Delarue, paix à son âme (…) Je l'avais trouvé pas du tout agréable mais ce n'est pas grave"

Questionné par Éric Dussart sur les circonstances de cette rencontre avec l'animateur, décédé en 2012 des suites d'un cancer de l'estomac, il a détaillé : "J'étais là pour défendre le film de ma femme, Toutes les filles sont folles. Et j'en avais fait un peu beaucoup sans doute, mais parce qu'il fallait le vendre ce petit film, on démarrait… Et je crois que ça l'avait un peu gonflé, et en partant il m'avait dit 'très bon vendeur'". Et à l'acteur de 65 ans de conclure : "Et puis comme je disais le titre, 'Toutes les filles sont folles', toutes les deux minutes, exprès, lui avait dû se sentir un peu débordé, mais j'étais là pour ça"

Antoine Duléry "en surcharge" ? "J'avais un tel besoin d'exister…"

Une anecdote qui est intervenue après que le comédien, marié à la réalisatrice Pascale Pouzadoux depuis 1994, ait reconnu avoir parfois été trop exubérant sur les plateaux de télévision. "Quelquefois, je me dis, que peut-être, il ne faut pas faire de surenchère, et en même temps, je le fais, je l'assume. Mais, c'est vrai que j'aurais peut-être dû laisser un peu plus parler les autres. Avec les années, quand je revois des anciennes télés, c'est vrai que j'avais un tel besoin d'exister, de séduire, que j'étais un peu, peut-être un peu en surcharge", a avoué le père de Raphaël et Lucien. 

"J'étais un peu emprisonné, sans doute, par mon propre truc. Mais c'est vrai qu'au tout départ, c'est évidemment la peur de ne pas exister, la peur de ne pas être assez aimé", a-t-il conclu.