Arielle Dombasle recalée d'une clivante église parisienne à cause de sa tenue
Fervente catholique, Arielle Dombasle aime se rendre dans les églises dès qu'elle le peut. Mais, sa récente visite dans une paroisse parisienne n'a pas été de tout repos...
Sur le plateau des Grosses Têtes de RTL, Arielle Dombasle a partagé une anecdote inattendue qui a suscité de nombreuses réactions. Refusée à l'entrée de l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, rue des Bernardins à Paris, en raison de sa tenue, elle a raconté sa mésaventure.
Arielle Dombasle : une tenue qui ne passe pas ?
Sur le plateau de l'émission animée par Laurent Ruquier, l'animateur sportif Yoann Riou a interpellé de manière inattendue sa camarade du jour, Arielle Dombasle "T'as pas eu un problème avec une mini-jupe ?", lui a-t-il demandé, sous les regards interrogateurs des autres sociétaires. L'actrice et chanteuse a alors confirmé, visiblement surprise par sa mésaventure : "On ne m'a pas laissée entrer dans une église hier, à la messe de 18 heures." Laurent Ruquier, curieux, lui a demandé pourquoi elle y était. L'épouse de BHL a répondu avec passion : "Mais je suis catholique ! Et puis j'entre toujours dans les églises, c'est un endroit où je me sens chez moi."
Ce jour-là, pourtant, l'entrée ne s'est pas faite sans heurts pour Arielle Dombasle. Trois personnes lui ont barré la route à cause de sa jupe jugée trop courte, et elle n'a pu entrer qu'après avoir revêtu un long manteau. En prime, un "grand monsieur" l'a approchée pour lui dire de manière énigmatique et menaçante : "Vous savez qui je suis ?", avant de s'éclipser sans plus d'explications !
Pourquoi l'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet est si particulière ?
L'église Saint-Nicolas-du-Chardonnet, dans le 5e arrondissement de la capitale, est connue pour son attachement au catholicisme traditionaliste. Depuis son occupation par la Fraternité Saint-Pie-X en 1977, elle applique des règles strictes, tant dans ses rituels religieux que dans le code vestimentaire exigé des visiteurs.
Les messes y sont ainsi célébrées en latin, et les fidèles doivent respecter un ensemble de valeurs conservatrices, parfois perçues comme anachroniques. Comme le rapporte une enquête d'Actu.fr, cette église adorée de l'extrême droite "est occupée illégalement par des fondamentalistes." Par ailleurs, comme le souligne l'article, "sur la porte, on conseille fortement aux jeunes femmes de porter le voile pendant les messes."