Alessandra Sublet et le célibat : "Soit j'étais lesbienne, soit j'étais avec plein de mecs..."

Alessandra Sublet aurait retrouvé l'amour. Depuis 2024, la mère de Charlie et Alphonse serait en couple avec un homme inconnu des médias. "Il est loin du milieu du showbiz ou de la télé puisqu'il travaille dans l'informatique, il a les pieds sur terre", a confié une source à Voici en janvier 2024. Après sa dernière séparation en 2021 avec Jordan Deguen, elle a ressenti le besoin de s'octroyer une pause, mais cela n'a pas été bien compris par tout le monde. Elle s'en est confié dans le Podcast Quincanailles.

Alessandra Sublet et le célibat : "J'ai tenu à ne pas avoir d'hommes dans ma vie "

L'animatrice est revenue sur sa récente période de célibat total, qui a duré deux ans et demi. "J'ai tenu à ne pas avoir d'hommes dans ma vie. (…) J'ai voulu le faire parce que d'abord j'en avais plus envie et j'avais vraiment, vraiment envie de me retrouver avec moi-même", a-t-elle expliqué dans Quincanailles.

La journaliste n'a que faire de la pression sociale ! "Tu sais, le célibat, aujourd'hui, on a l'impression dans notre société que c'est celui dont il ne fait pas prononcer le nom. Mais c'est pas grave d'être célibataire. (…) C'est presque le degré zéro, donc la normalité, en fait, ce que l'on est dans la vie", a-t-elle déclaré, fièrement.

Alessandra Sublet : "Soit j'étais lesbienne, soit j'étais avec plein de mecs..."

Alessandra Sublet a tenu à insister là-dessus, car elle a été choquée par toutes les remarques qu'elle s'est prises à l'époque. "Pendant deux ans et demi, je l'ai entendu constamment : 'Ah bon, toi, t'as pas de mecs ?'. 'Non'. Alors, c'est que forcément, il y avait un problème soit j'étais lesbienne, soit j'étais avec plein de mecs, alors que c'était pas le cas du tout", s'est-elle souvenue. 

La quadragénaire s'est insurgée de cette vision simpliste de notre société. "On n'est pas obligé d'être en couple pour avoir un statut social. Or, dans notre société aujourd'hui, le célibat est vu comme quelque chose de négatif. (…)C'est un peu comme à 30 ans on dit 'tiens, t'as pas d'enfants'. C'est l'injonction", a-t-elle décrypté. De sages paroles...