Brigitte Bardot, malheureuse : "Les gens se jettent sur moi"... Ses tristes confidences à un acteur
L'ancien acteur et présentateur George Beller a côtoyé de nombreuses personnalités, dont Brigitte Bardot. Cette dernière lui avait fait de tristes confidences...
Georges Beller a bercé la génération née dans les années 80 et 90. Il a été présentateur d'émission phare d'Antenne 2 : les Mariés de l'A2, l'Académie des neuf, Jeux sans Frontières ou encore, Surprise sur prise. Il a aussi joué notamment dans la série Médecins de nuit. Puis, l'homme de télévision a décidé de se consacrer au théâtre. Au cours de sa carrière, il a eu "l'honneur de tourner avec Brigitte Bardot". L'acteur avait eu l'occasion de s'entretenir avec B.B, et il avait été particulièrement ému par ses confidences. Celle-ci souffrait énormément de sa notoriété, comme il l'avait confié face à Jordan de Luxe.
Brigitte Bardot, malheureuse : "Tu as de la chance, toi "
Brigitte Bardot n'a pas toujours bien vécu son incroyable célébrité d'après Georges Beller. "Elle m'a dit : 'tu as de la chance toi, tu peux aller faire des courses où tu veux'", a-t-il raconté dans Chez Jordan. Le sociétaire de l'Académie Française avait été très touché par les confidences de celle qui a été l'une de plus belles femmes du monde.
"C'est la liberté. Elle, elle ne peut pas". L'ancienne actrice lui avait détaillé son calvaire. "Je vais au Printemps, il y a une émeute. Je vais là, il y a une émeute. Les gens se jettent sur moi", lui aurait-elle décrit à l'époque, attristée de cette situation.
Brigitte Bardot : "Ma vie ressemble à une grande prison"
Déjà en 1960, dans une interview télévisée qu'on peut retrouver sur View, la star se plaignait de sa situation en faisant référence au poids de sa popularité. "Ma vie ressemble à une grande prison. Agréable, mais c'est un peu une prison, quand même." Et celle qui consacre maintenant sa vie aux animaux avait ajouté : "J'appartiens à tout le monde. On me fait dire des choses que je ne dis pas, on me fait faire des choses que je ne fais pas. On a un peu l'impression de ne plus être libre. (…) Je ne souhaite qu'une chose, c'est qu'on parle moins de moi. Je suis obligée de vivre avec les rideaux tirés, les volets tirés parce qu'il y a des téléobjectifs sur le toit d'en face". On comprend mieux pourquoi elle a décidé de vivre loin des médias, à l'abri des regards, dans sa propriété près de Saint-Tropez.