Pour un grand magazine, Naomi Campbell change de coupe de cheveux comme de vêtements - tout lui va comme un gant
Coiffure plaquée, lisse ou frisée, Naomi Campbell a subjugué la Toile en s'offrant plusieurs styles capillaires pour le magazine Harper's Bazaar.

Pour son nouveau numéro ICONS Issue en kiosque en septembre, le magazine américain Harper's Bazaar a consacré quelques pages au mannequin Naomi Campbell. En témoigne la dernière publication Instagram de la célébrité, partagée le vendredi 16 août, qui a récolté des milliers de " j'aime ". Dessus, elle change radicalement de style capillaire au gré des photos.
Naomi Campbell tente les cheveux plaqués
Naomi Campbell prend donc la pose pour Harper's Bazaar dans des looks et des mises en beauté plus canons les unes des autres. Ainsi, l'ancien supermodel s'est d'abord montré avec des cheveux courts plaqués agrémentés de mèches travaillées au gel sur le front. Un détail arty qui apportait un coup de pep's à sa tenue composée d'un gilet de costume noir et d'un pantalon baggy couleur sable. Niveau maquillage, celle qui créé l'événement à chaque apparition a mis le paquet en portant un teint lumineux parfaitement sculpté à l'aide d'une poudre bronzante et d'un blush mais aussi un smoky eye charbonneux dans les tons marron accompagné d'un large trait de liner et une bouche glossy.
Les folies capillaires de Naomi Campbell
Si l'on pensait qu'il était difficile de changer de style capillaire avec des cheveux courts, Naomi Campbell nous prouve tout le contraire en jouant avec des effets de matières. Toujours dans les pages du magazine Harper's Bazaar, la diva est apparue entièrement vêtue de noir avec un carré court asymétrique et un détail qui fait toute la différence : la mini frange.
Elle s'est offert un autre look encore très différent en portant une robe à paillettes coiffée d'un carré frisé au volume XXL sur les côtés. Enfin, Naomi Campbell a ajouté quelques boucles glamour à son carré pour qu'il s'accorde à sa robe blanche vaporeuse sur la dernière photo de son carrousel. À croire que tout lui va…